CÉLESTES CELESTINS
Le jazz populaire fait encore recette. Les Célestins l'ont démontré vendredi dernier au Temple Neuf.
L'église était comble lorsque Pierre Isenmann au cornet à piston à démarré seul le concert bientôt rejoint par Jean-Marie Wilhm au banjo puis successivement Robert Mérian à la Clarinette, Paul Isenmann au soubasophone , Geoges Isenmann au trombone, Jean-Louis Fernandez à la batterie et Christophe Burger au Saxophone. Pendant plus de deux heures, les Célestins ont offert aux auditeurs un vrai régal avec l'interprétation d’œuvres datant de 1917 à 1930, mais avec une fraîcheur nouvelle. Tantôt percutants, tantôt mélancoliques, les morceaux visitent le bonheur et les peines de gens que la vie n'a pas toujours épargnés.
Le public enthousiaste n'a pas ménagé les ovations aux solistes; un public ravi et généreux. Car ce concert a permis de récolter 3600€ destinés à contribuer au financement de la maison protestante de la solidarité qui va regrouper en un seul lieu 4 associations : la Sémis, le centre social protestant, le Casas et la Cimade.
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